Si vous avez l’habitude d’aller sur YouTube sans un bloqueur de pub, sachez que je vous admire. J’y ai accédé récemment à partir d’un navigateur internet qui était dénué d’extension et je suis littéralement resté bouché bée. Plutôt que de voir ma vidéo se lancer directement, j’ai eu droit à 30 secondes de publicité. Blasé, j’ai préféré fermer la fenêtre en me disant que je regarderai la vidéo plus tard, plutôt que de perdre mon temps. Il existe plusieurs solutions pour se passer totalement des pubs sur YouTube et, croyez-moi, en essayer une, c’est l’adopter.
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Rear Window ou se passer de YouTube
Depuis plus d’une dizaine d’années déjà, YouTube est leader sur le marché de la vidéo en ligne. Deuxième moteur de recherche après Google, la plateforme s’est taillée une place de choix dans le quotidien de l’humain moyen. Et si ça changeait en 2021 ? J’ai entamé cette réflexion il y a deux ans de cela, quand YouTube a décidé de changer les règles de monétisation des vidéos hébergées en son sein. Je l’ai laissé de côté pendant de long mois avant que Google ne prenne de nouvelles décisions qui me poussent à nouveau à me poser la question : ferait-on mieux de se passer de YouTube ?
Rules of attraction, ou quand YouTube change les règles
2018 commence avec un coup de tonnerre dans le monde de la vidéo en ligne. YouTube annonce de nouvelles règles pour ceux qui souhaiteraient monétiser leurs vidéos. A partir du mois de février, tant les nouveaux utilisateurs que les vieux de la vieille devront, pour espérer gagner quelques centimes de leurs créations, disposer d’une chaîne sur laquelle 4 000 heures de contenus auront été visionnées dans l’année écoulée et qui disposera d’au moins 1 000 abonnés.
Déjà, dans les commentaires de l’annonce, les petits YouTubers qui n’ont pas la puissance de feu d’un Logan Paul (pour citer celui a été le déclencheur de cette nouvelle décision) s’échangent les liens de leurs chaînes pour s’abonner les uns aux autres et espérer atteindre la barre des 1000 abonnés. Une tentative vaine et sans espoir, puisque sans les 4000 heures de programmes vues durant les douze derniers mois, il est inutile d’avoir 100 abonnés ou 10 000. Je gère pour ma part une chaîne YouTube qui dispose de plus de 3 000 abonnés. Durant les douze derniers mois, plus de 3 200 heures de ses vidéos ont été regardées. Dommage, ça n’atteint pas la barre fatidique imposée par YouTube.
La vie des autres ou quand Facebook veut devenir Youtube
Alors que 2014 aura vu Youtube surpasser bon nombre de réseaux sociaux en ce qui concerne le taux d’interactions, 2015 pourrait confirmer la place de la vidéo, et donc toujours de Youtube, comme média le plus important du web. Tout ça à cause de l’engagement. L’engagement ? La manière dont les utilisateurs réagissent et interagissent avec le contenu (par des likes ou des partages). C’est la donnée la plus importante pour les marques et ce n’est donc pas anodin pour Youtube de pouvoir se positionner comme une plateforme où l’engagement est important.
Par ailleurs, Youtube sait atteindre le public que tout bon webmarketer cherche à conquérir : celui des 13-24 ans. 2015 sera-t-elle donc l’année de la vidéo en ligne ? C’est ce que disent certains, mais pour moi, l’âge d’or de la vidéo en ligne a commencé en 2007. Néanmoins, que ce soit avec Netflix, Youtube, Instagram, Vine ou Facebook comme je vais l’expliquer ici, le phénomène ne va que s’amplifier.
Backdraft ou What The Fake
En octobre dernier, France Télévisions lançait « Génération Quoi ?« , une grande enquête censée établir le portrait d’une génération, celle des 18-34 ans. Le dispositif ? Un questionnaire interactif disponible sur smartphone, ordinateur et tablette, et une expérience web complète comprenant vidéos, sondages et réseaux sociaux. Quelques mois plus tard arrive le pendant Belge, dénommé « What The Fake ?!« .
C’est de ce dernier dont je vais parler, en revenant sur le lancement par la RTBF de cette nouvelle expérimentation web, moins de 15 jours après son dévoilement au public. Le fait est que je trouve toujours remarquable la manière dont ce type de projet peut commettre des petites erreurs. Il s’agit donc d’un bon cas d’étude.
Jaws ou 5 raisons de préférer Youtube à Vimeo
Plus tôt cette semaine, le site américain Mashable a joué le jeu bien étrange des comparaisons entre Vimeo et Youtube dans un article intitulé « 5 raisons de choisir Vimeo au lieu de Youtube ». Entendons-nous bien, je pense que ce type d’article n’a pas de sens.
Si Youtube et Vimeo sont deux sites de diffusion de vidéos, leurs publics et leurs objectifs sont bien différents. Cependant, je ne résiste pas à tenter de rétablir l’équilibre céleste en prenant le parti pris inverse : pourquoi choisir Youtube plutôt que Vimeo ?
Lord Of War ou quand Youtube devient payant
C’est officiel, depuis hier, Youtube propose un système de souscription à certaines chaînes, des abonnements payants pour accéder à un contenu original. Si le système n’est pas encore disponible en Europe, il pose déjà de vraies questions sur le futur de cette plateforme sur laquelle se rendent chaque jour un milliard de personnes.
Faire naître du contenu payant au beau milieu d’une manne jusque là totalement gratuite n’a rien du pari gagné d’avance. Certains diront que ce n’est pas simplement le même contenu qui deviendra payant, mais bien un nouveau contenu, de meilleure qualité. Là encore, le passé a prouvé qu’il ne suffisait pas de proposer du neuf pour attirer le chaland. Il y a quelques mois encore, Youtube faisait d’ailleurs le ménage dans les chaînes thématiques qu’ils avaient eux-mêmes financé.
Sur Mes Lèvres ou sous-titrer une vidéo Youtube
Au même titre que la qualité d’une vidéo ou que le nombre d’avis positifs, la présence de sous-titres peut améliorer la position de votre vidéo dans les résultats de recherches sur Youtube. Cela vous étonne ? Ce n’est pourtant pas nouveau. Youtube considère d’abord que les sous-titres sont un moyen de rendre votre vidéo disponible à un plus grand nombre de personnes (que ce soit pour les utilisateurs d’une autre langue ou pour les malentendants) et décide de la mettre en valeur pour cette raison.
D’autre part, tout comme le titre et la description de votre vidéo, les sous-titres sont à leur tour indexés par Youtube et, par extension, par Google. C’est ainsi le contenu même de votre vidéo qui est utilisé par le moteur de recherche, ce qui permet en théorie de la faire ressortir plus facilement dans les résultats.
Les 7 Samouraïs ou de nouvelles webséries
J’ai par le passé (il y a plus de deux ans !) dressé un constat assez désabusé de la création vidéo pour le web, notamment des webséries. J’ai depuis fait quelques découvertes, comme Le Visiteur du Futur ou En Audition avec Simon qui, si elles ne reprenaient pas mes idées au niveau de leur conception, misaient avec succès sur leur format taillé pour le web.
Depuis, il y a même eu Bref, qui prouve qu’on peut malheureusement faire un format web pour la télé. Pour se tenir à la page, j’ai décidé de faire un petit tour d’horizon des dernières choses qui ont attiré mon attention ces dernières semaines.
Braveheart ou créer un videosite sur VidMeUp
Dans la rubrique « J’ai testé pour vous », je me suis intéressé à un portail original nommé VidMeUp. Qu’est-ce qui se cache derrière ce nom mystérieux ? VidMeUp est un service qui se targue de vous permettre de créer votre propre site de vidéos, gratuitement. Un site de vidéos ? Plus qu’une chaîne Youtube ou Vimeo, un espace totalement personnalisable pour héberger vos pages et vos vidéos.
Avec un tel avant-propos, il est facile d’imaginer les usages possibles de ce genre de service. Vous lancez une WebTV ou une WebSérie ? Plus besoins de créer votre site Internet à partir de rien, vous pouvez partir du modèle VidMeUp et disposer rapidement d’une plateforme opérationnelle. Vous vous êtes longtemps arraché les cheveux pour trouver un thème WordPress pour votre blog traitant de vidéo ? VidMeUp allie hébergement de vidéos et construction de pages. La solution idéale ?