Hook ou ces marques qui communiquent en vidéo

La recette d’une vidéo virale, personne ne la connaît. Des centaines d’articles existent sur Internet et vous promettent le Graal, à base de grandes lignes directrices, mais la vérité est que personne ne possède la formule magique. Les ingrédients sont pourtant connus : de l’humour ou de l’émotion, quelque chose qui aille chercher le spectateur et qui lui donne envie de s’engager, de participer…

C’est malheureusement plus facile à dire qu’à faire. Pourtant, tout le monde essaie. Les marques, grandes ou petites, ne cessent de lancer leurs bouteilles à la mer, avec un succès très relatif. La dernière manœuvre en date pour tenter d’accrocher un peu de notre attention est de faire preuve d’honnêteté. D’honnêteté ? Sur Internet ? Explications.

Signes ou un nouveau projet de WebTV

Beaucoup de gens vous diront, moi y compris, que lorsqu’on développe une idée pour Internet, il ne faut pas viser le plus large public possible. La bonne tactique, quand vous n’avez pas les moyens de vos ambitions gargantuesques, c’est de vous adresser à un public précis. C’est ce qu’on appelle une niche. Alors que pour mon précédent projet de webvidéo, le public était évident et bien défini, ce à quoi je m’attèle maintenant pose de nouvelles questions. Comment proposer de la vidéo sur Internet à un public qui n’est pas connecté ?

Le Pays de Geminiacum est une ASBL qui a pour but d’améliorer l’identité culturelle, l’économie et la qualité de vie dans les communes de Pont-à-Celles et des Bons Villers. Nous sommes en Belgique, en pleine province du Hainaut et ce qu’on appelle le pays de Geminiacum est en fait une entité regroupant plusieurs villages. Le projet sur lequel je travaille vise à illustrer, en vidéo, les activités culturelles, économiques et citoyennes qui y ont lieu.