In the air ou le drone DJI Phantom 4

Dire que les drones sont une nouvelle tendance dans le milieu de l’audiovisuel serait une belle erreur. Si on parle de tendances, on peut parler de vidéo à 360° ou de réalité virtuelle, mais certainement pas des drones. Ceux-ci sont sur le marché depuis déjà quelques années et, si le grand public commence à se les approprier (et les pouvoirs publics à légiférer pour en limiter la prolifération), ils sont déjà largement utilisés dans le milieu professionnel. Il suffit de regarder n’importe quel documentaire, émission de voyage ou même série télé pour s’en convaincre. Pour autant, les technologies utilisées sont encore largement améliorables. C’est dans ce contexte que le constructeur DJI sort la quatrième itération de son drone Phantom.

J’ai regardé un film sur mon smartphone et j’ai aimé ça

J’en ai déjà parlé par le passé, j’ai la conviction que nos modes de consommation de films vont évoluer et sont déjà en train d’évoluer. Avec l’avènement des smartphones et des tablettes, des services de VOD tels que Netflix et autre Molotov.tv, plus besoin d’aller au cinéma ou d’allumer la télévision pour regarder un film. On peut à présent sortir son smartphone de sa poche, ouvrir une application et regarder une fiction, peu importe l’endroit où on se trouve. Mais est-ce vraiment confortable ? Les cinéastes s’insurgent, de Spike Lee à David Lynch, contre ce mode de consommation. Même si les écrans de nos appareils mobiles ont grandi ces dernières années, ils sont loin de rendre justice au travail des techniciens, des réalisateurs et des acteurs. Vraiment ?

L’Histoire Sans Fin ou la websérie Le Centre

Récemment, la cellule webcréation de la RTBF clôturait son deuxième appel à webséries en proposant au public de voter pour le meilleur des 4 pilotes sélectionnés. C’est finalement le pilote de « Burkland » qui a remporté le plus de suffrage, permettant ainsi à son équipe d’obtenir un financement de 100 000 euros pour la production du reste de la saison. Ce n’est pourtant pas de « Burkland » dont je veux vous parler aujourd’hui, ni de « Presque Normal », websérie de Dan Gagnon dont on a aussi beaucoup parlé dernièrement. Non, je préfère me pencher sur le cas d’une autre websérie, intitulée « Le Centre ».

Lord Of The Ring ou un catalogue pour la VOD légale

Alors que Carrefour vient de lancer sa propre plateforme de vidéo à la demande, baptisée « Nolim« , je me faisais la réflexion qu’il commence à être compliqué de louer ou acheter un film en dématérialisé sur Internet. Où aller en premier lieu ? Ces derniers temps, l’arrivée en Europe de Netflix aidant, les plateformes de VOD se sont démultipliées et il devient difficile de s’y retrouver. Et si quelqu’un mettait au point un comparateur, un moyen de trouver tel film, au meilleur prix ? A peine avais-je formulé l’idée que le CNC y répondait.

Calvaire ou suivre l’actualité cinéma sur le net

Il y a bien longtemps, j’étais abonné au magazine Première. J’étais jeune, passionné par le cinéma, j’ai à peine cherché à quel magazine m’abonner pour m’informer sur l’actualité des sorties et de mes cinéastes favoris avant de choisir Première. Les critères étaient purement subjectif : le ton du magazine me plaisait et les avis semblaient pouvoir correspondre en majeur partie à mes goûts. Première a donc accompagné mon adolescence et mon passage à l’âge adulte. Comme moi, il a changé. Jusqu’à ce que nos chemins se séparent. A l’issue de ce premier paragraphe, vous l’avez sans doute compris, ce post de blogue sera un peu différent des autres.

Pourquoi je n’ai pas renouvelé mon abonnement à Première, à l’époque ? Le magazine avait, au fil du temps, connu plusieurs changements de maquette, quitte à privilégier la forme sur le fond. Attention, je ne dis pas que le fond avait été négligé. Dans ce qui étaient les prémices de la crise de la presse papier, Première cherchait à élargir son lectorat en essayant de se créer une image moins élitiste et plus généraliste. Judd Appatow est arrivé à la même époque et a été sacré Dieu de la comédie US dans les pages de Première. Une rubrique Jeux Vidéo est apparue, comme ça, sans raison. L’heure du réabonnement est venue et la question était simple : pourquoi m’infliger encore la lecture d’un magazine qui ne me ressemblait plus alors que je pouvais trouver la même chose sur le web ?

La vie des autres ou quand Facebook veut devenir Youtube

Alors que 2014 aura vu Youtube surpasser bon nombre de réseaux sociaux en ce qui concerne le taux d’interactions, 2015 pourrait confirmer la place de la vidéo, et donc toujours de Youtube, comme média le plus important du web. Tout ça à cause de l’engagement. L’engagement ? La manière dont les utilisateurs réagissent et interagissent avec le contenu (par des likes ou des partages). C’est la donnée la plus importante pour les marques et ce n’est donc pas anodin pour Youtube de pouvoir se positionner comme une plateforme où l’engagement est important.

Par ailleurs, Youtube sait atteindre le public que tout bon webmarketer cherche à conquérir : celui des 13-24 ans. 2015 sera-t-elle donc l’année de la vidéo en ligne ? C’est ce que disent certains, mais pour moi, l’âge d’or de la vidéo en ligne a commencé en 2007. Néanmoins, que ce soit avec Netflix, Youtube, Instagram, Vine ou Facebook comme je vais l’expliquer ici, le phénomène ne va que s’amplifier.

Cloud Atlas ou quand RealPlayer se met au Cloud

Quand Real Player revient d’entre les morts… Cela fait maintenant plusieurs semaines que j’utilise la toute dernière version de Real Player, dans son itération dédiée au partage de fichiers dans le nuage. Il faut donc à présent parler de RealPlayer Cloud, un service équivalent à Dropbox, OneDrive ou Google Drive, mais centré sur la vidéo. Vraiment ? J’ai évidemment décidé de tester RealPlayer Cloud et de le mettre à l’épreuve de mon utilisation tant personnelle que professionnelle. Alors, que vaut-il ?

Robocop ou protéger son scénario

Lorsqu’un scénariste travaille sur un scénario, qu’il s’agisse du développement d’un film, d’un téléfilm, d’une série ou d’une websérie, il doit être prudent quant aux personnes à qui il montre ses textes. Si les cas de plagiat sont relativement peu nombreux, les producteurs préférant bien souvant capitaliser sur un scénariste talentueux plutôt que de lui voler ses idées, ce risque n’est pas à exclure.

Avant toute démarche auprès de producteurs, il incombe donc au scénariste de protéger son oeuvre. Aujourd’hui, les excuses sont difficiles à trouver : la procédure est simple à effectuer et ne coûte plus grand chose. Une précision néanmoins : protéger son scénario signifie prouver l’antériorité. En aucun cas cela ne permet de prouver le plagiat, ce qui est extrêmement compliqué. Il faut alors pouvoir démontrer que la personne a eu votre scénario en main, mais en plus trouver au moins 20 points de concordances.

Backdraft ou What The Fake

En octobre dernier, France Télévisions lançait « Génération Quoi ?« , une grande enquête censée établir le portrait d’une génération, celle des 18-34 ans. Le dispositif ? Un questionnaire interactif disponible sur smartphone, ordinateur et tablette, et une expérience web complète comprenant vidéos, sondages et réseaux sociaux. Quelques mois plus tard arrive le pendant Belge, dénommé « What The Fake ?!« .

C’est de ce dernier dont je vais parler, en revenant sur le lancement par la RTBF de cette nouvelle expérimentation web, moins de 15 jours après son dévoilement au public. Le fait est que je trouve toujours remarquable la manière dont ce type de projet peut commettre des petites erreurs. Il s’agit donc d’un bon cas d’étude.